Je décidai d'aller me présenter à Alice, qui se reposait dans la salle commune. Une fois dans la salle, je la rejoignis et demandai à lui parler seule à seule. Alice commença par me questionner sur mon identité et je lâchai que j'étais venue la voir après sa tentative de suicide. Nous nous éloignâmes un peu des deux autres et Alice commença à me poser des questions sur mes connaissances de son identité. Tout ce dont je devais lui parler. Mes premières réponses, bien qu'honnêtes, n'étaient pas si directes, mais elle comprit. Nous étions sœurs. Je décidai de lui annoncer la suite. La vérité étrange qu'elle se devait de connaître. Elle choisit ensuite d'annoncer immédiatement la vérité à ses deux amies. Je les appelai donc et elles arrivèrent. Alice essaya d'annoncer la nouvelle par elle-même, mais, incapable de le faire, me pria de le faire à sa place.

Je décidai d'aller me présenter à Alice, qui se reposait dans la salle commune. Une fois dans la salle, je la rejoignis et demandai à lui parler seule à seule. Alice commença par me questionner sur mon identité et je lâchai que j'étais venue la voir après sa tentative de suicide. Nous nous éloignâmes un peu des deux autres et Alice commença à me poser des questions sur mes connaissances de son identité. Tout ce dont je devais lui parler. Mes premières réponses, bien qu'honnêtes, n'étaient pas si directes, mais elle comprit. Nous étions sœurs. Je décidai de lui annoncer la suite. La vérité étrange qu'elle se devait de connaître. Elle choisit ensuite d'annoncer immédiatement la vérité à ses deux amies. Je les appelai donc et elles arrivèrent. Alice essaya d'annoncer la nouvelle par elle-même, mais, incapable de le faire, me pria de le faire à sa place. J'acceptai et dus faire face à l'incrédulité d'Ieli. Je lui prouvai que je connaissais des éléments sur elle et ses amies auxquelles une inconnue aurait difficilement accès, pour commencer.

Je décidai d'aller me présenter à Alice, qui se reposait dans la salle commune. Une fois dans la salle, je la rejoignis et demandai à lui parler seule à seule. Alice commença par me questionner sur mon identité et je lâchai que j'étais venue la voir après sa tentative de suicide. Nous nous éloignâmes un peu des deux autres et Alice commença à me poser des questions sur mes connaissances de son identité. Tout ce dont je devais lui parler. Mes premières réponses, bien qu'honnêtes, n'étaient pas si directes, mais elle comprit. Nous étions sœurs. Je décidai de lui annoncer la suite. La vérité étrange qu'elle se devait de connaître. Elle choisit ensuite d'annoncer immédiatement la vérité à ses deux amies. Je les appelai donc et elles arrivèrent. Alice essaya d'annoncer la nouvelle par elle-même, mais, incapable de le faire, me pria de le faire à sa place. J'acceptai et dus faire face à l'incrédulité d'Ieli. Je lui prouvai que je connaissais des éléments sur elle et ses amies auxquelles une inconnue aurait difficilement accès, pour commencer. Azaye semblait y croire plus facilement, sans toutefois être totalement convaincue. Ieli, elle, voulait savoir si on pouvait vraiment la guérir. Je répondis par l'affirmative.

Je décidai d'aller me présenter à Alice, qui se reposait dans la salle commune. Une fois dans la salle, je la rejoignis et demandai à lui parler seule à seule. Alice commença par me questionner sur mon identité et je lâchai que j'étais venue la voir après sa tentative de suicide. Nous nous éloignâmes un peu des deux autres et Alice commença à me poser des questions sur mes connaissances de son identité. Tout ce dont je devais lui parler. Mes premières réponses, bien qu'honnêtes, n'étaient pas si directes, mais elle comprit. Nous étions sœurs. Je décidai de lui annoncer la suite. La vérité étrange qu'elle se devait de connaître. Elle choisit ensuite d'annoncer immédiatement la vérité à ses deux amies. Je les appelai donc et elles arrivèrent. Alice essaya d'annoncer la nouvelle par elle-même, mais, incapable de le faire, me pria de le faire à sa place. J'acceptai et dus faire face à l'incrédulité d'Ieli. Je lui prouvai que je connaissais des éléments sur elle et ses amies auxquelles une inconnue aurait difficilement accès, pour commencer. Azaye semblait y croire plus facilement, sans toutefois être totalement convaincue. Ieli, elle, voulait savoir si on pouvait vraiment la guérir. Je répondis par l'affirmative. Soudainement, Alice se rappela de leur plan de migration de l'humanité et proposa de nous faire tous venir sur Vailin. Azaye demanda la taille de ladite planète, pour savoir si le plan serait réalisable. Je lui donnai mon avis : oui.

Je décidai d'aller me présenter à Alice, qui se reposait dans la salle commune. Une fois dans la salle, je la rejoignis et demandai à lui parler seule à seule. Alice commença par me questionner sur mon identité et je lâchai que j'étais venue la voir après sa tentative de suicide. Nous nous éloignâmes un peu des deux autres et Alice commença à me poser des questions sur mes connaissances de son identité. Tout ce dont je devais lui parler. Mes premières réponses, bien qu'honnêtes, n'étaient pas si directes, mais elle comprit. Nous étions sœurs. Je décidai de lui annoncer la suite. La vérité étrange qu'elle se devait de connaître. Elle choisit ensuite d'annoncer immédiatement la vérité à ses deux amies. Je les appelai donc et elles arrivèrent. Alice essaya d'annoncer la nouvelle par elle-même, mais, incapable de le faire, me pria de le faire à sa place. J'acceptai et dus faire face à l'incrédulité d'Ieli. Je lui prouvai que je connaissais des éléments sur elle et ses amies auxquelles une inconnue aurait difficilement accès, pour commencer. Azaye semblait y croire plus facilement, sans toutefois être totalement convaincue. Ieli, elle, voulait savoir si on pouvait vraiment la guérir. Je répondis par l'affirmative. Soudainement, Alice se rappela de leur plan de migration de l'humanité et proposa de nous faire tous venir sur Vailin, nous et le reste des Terriens. Azaye demanda la taille de ladite planète, pour savoir si le plan serait réalisable. Je lui donnai mon avis : oui. Azaye, elle, proposa d'y emmener son peuple au lieu des nôtres, mais Ieli et moi lui dirent que nous préférerions l'inverse, notamment pour convaincre tout le monde.